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30/04/2025
LBO
Adopt Parfums s’imprègne d’un nouveau minoritaire
30/04/2025
LBO
Carrément Fleurs butiné par un repreneur
30/04/2025
LBO
Transmission et build-up simultanés pour Fleuret
30/04/2025
International
Océan afflue chez un germano-suisse
30/04/2025
M&A Corporate
Terrésens s'ouvre à un gérant de parcs de loisirs
30/04/2025
Capital innovation
Inicio poursuit en Europe avec deux nouveaux VCs
30/04/2025
International
deepull sur la dernière ligne droite
30/04/2025
M&A Corporate
Fauchon se repaît de pâtisseries
30/04/2025
Capital innovation
Chloé in the Sky s'entoure de business angels
30/04/2025
Nominations
Une directrice associée pour Linkers
30/04/2025
Nominations
Alvarez & Marsal se muscle
30/04/2025
Retournement
ACI Group forge son développement dans l'Est
30/04/2025
International
Weezevent en tournée en Europe
30/04/2025
Dette
Carton plein pour CIC Mezzanine & Unitranche 6
30/04/2025
Capital innovation
Chipiron finalise son mini-IRM avec une série A
CANVIEW

Entrepreneurs : l’apport-cession facilité Accès libre


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Le régime de l’apport-cession rencontre un vif succès auprès des dirigeants qui vendent leur entreprise. Il leur permet de garder un pied dans les affaires et aussi d’alléger sensiblement la fiscalité applicable à la plus-value dégagée. Si le chef d’entreprise réinvestit le fruit de la vente ou une partie de celui-ci, dans une autre activité, l’impôt correspondant aux sommes réinvesties est reporté, et si tout se passe bien, il n’aura peut-être jamais à être payé.

Le régime de l’apport-cession est très encadré fiscalement et pour en bénéficier, le chef d’entreprise dispose de trois solutions : soit il réinvestit dans une activité qu’il crée pour l’occasion, soit il achète une ou des sociétés dont il doit obligatoirement devenir majoritaire, soit enfin, il prend des participations minoritaires dans des sociétés à l’occasion d’augmentations de capital. Dans le premier cas, le chef d’entreprise sait généralement quel type de société il veut créer et il n’a besoin de personne pour mettre son projet à exécution. Dans le second cas, soit il a déjà identifié sa cible, soit il peut s’adresser à une banque d’affaires qui se chargera de lui trouver chaussure à son pied.

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