Cotée depuis l’an passée, la biotech nantaise qui utilise les phages pour lutter contre l’antibiorésistance se finance auprès de...
Didier Hoch a réussi son pari de « lever 3,1 M€ dans un contexte difficile », offrant ainsi à Pherecydes, la biotech nantaise qu’il dirige, le « socle suffisant » pour financer ses activités jusqu’en mars prochain et poursuivre ses essais. En espérant pourvoir profiter de conditions plus favorables ultérieurement et obtenir les 4 M€ qui lui permettront d'avril à septembre prochain. L’augmentation de capital a été réalisée essentiellement auprès d’une partie des investisseurs institutionnels entrés fin 2017 au capital de la société (voir (...)
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